Le Burmese anglais trouve ses racines en Asie du Sud-Est, où des chats bruns aux yeux dorés étaient déjà appréciés pour leur élégance. Importé au Royaume-Uni au début du XXe siècle, il est développé à partir d’un petit nombre de sujets originaires de Birmanie et de Thaïlande, puis affiné par des éleveurs britanniques pour obtenir un chat à la robe soyeuse, au corps musclé et aux teintes chaudes (seal, chocolat, bleu, lilas, et dérivés). La sélection britannique a façonné un type distinct de la lignée américaine, avec une tête légèrement plus fine, un stop marqué mais harmonieux et une silhouette athlétique.
Dans les années 1950-1970, les clubs de race du Royaume-Uni structurent le standard et diversifient la palette de couleurs. Aujourd’hui, le Burmese anglais est reconnu pour son équilibre entre élégance et puissance, héritage direct de ses ancêtres orientaux et du travail méticuleux des éleveurs britanniques.
Vif, affectueux et résolument “chat-chien” dans l’âme, le Burmese anglais crée un lien fort avec son humain. Il recherche la proximité, participe à la vie du foyer et n’hésite pas à vocaliser doucement pour communiquer. Curieux, joueur et intelligent, il apprend vite (puzzles alimentaires, clicker, rappels) et apprécie les routines interactives. Sociable, il cohabite généralement bien avec les enfants respectueux et les autres animaux, à condition d’être correctement présenté et stimulé.
Ce chat déteste l’ennui. Sans activités ni interactions, il peut développer des comportements d’hyperattachement, vocalises excessives ou marquage. Un environnement enrichi et des temps de jeu quotidiens sont essentiels pour canaliser son énergie et nourrir sa nature exploratrice.
Le Burmese anglais a besoin d’un cadre de vie stimulant: arbres à chat stables, parcours muraux, cachettes, griffoirs variés et jeux de prédation (canne à pêche, balles distributrices). Deux à trois sessions de jeu actives par jour (5-10 minutes) aident à couvrir ses besoins d’exercice. Son appétit peut être marqué: privilégiez une alimentation protéinée et équilibrée, fractionnée ou en libre-service contrôlé, avec surveillance du poids pour prévenir le surpoids. L’enrichissement alimentaire (puzzles, tapis de fouille) soutient son mental et limite la gloutonnerie.
Côté bien-être, un brossage hebdomadaire suffit pour son poil court, mais l’hygiène dentaire doit être suivie (brossage progressif, friandises ou gels bucco-dentaires) car la race peut être sensible aux problèmes gingivaux. Des visites vétérinaires régulières permettent de dépister précocement certaines fragilités observées chez la lignée (troubles métaboliques comme le diabète dans certaines populations, hypokaliémie, douleurs orofaciales). Enfin, parce qu’il est très sociable, évitez les longues périodes de solitude: prévoyez un compagnon félin compatible ou des enrichissements automatiques si vous vous absentez souvent.
Le Burmese anglais vit en moyenne 12 à 16 ans. C’est un chat souvent robuste et très affectueux, mais certaines prédispositions de race et les pépins de santé courants chez le chat peuvent vite faire grimper la facture vétérinaire. Souscrire une assurance santé Burmese anglais, c’est lisser ces dépenses dans le temps et garantir l’accès aux meilleurs soins sans compromis. Si vous vous demandez pourquoi assurer Burmese anglais, voici les risques à connaître et des exemples de coûts réels.
Le Burmese présente, selon les études britanniques et australiennes, un risque de diabète environ 3 à 4 fois supérieur à celui d’un chat européen, avec un pic d’apparition vers 8–10 ans. Les signes: soif et appétit augmentés, amaigrissement, infections urinaires. Bilan initial: consultation (35–60€), biochimie + fructosamine (80–150€), parfois échographie (90–150€). Le traitement chronique associe insuline (20–60€/mois), seringues ou stylos (10–20€/mois) et contrôles (courbe glycémique 80–150€). Une décompensation (acidocétose) nécessite hospitalisation, perfusions et surveillance: 600–1 500€ selon la gravité. Une assurance santé Burmese anglais couvre tout ou partie de ces frais, y compris les bilans de suivi.
Affection héréditaire décrite sur les lignées britanniques: faiblesse musculaire, port de tête abaissé (ventroflexion), épisodes récidivants de fatigue. Diagnostic: ionogramme sanguin (40–90€) et éventuellement test génétique (45–70€). Le traitement repose sur une supplémentation en potassium (15–30€/mois) et des contrôles réguliers (bilan sanguin 60–120€). En cas de crise sévère: hospitalisation et perfusions (150–400€). Une bonne police prend en charge examens, traitements au long cours et hospitalisations.
Le Burmese est parmi les races prédisposées aux urolithiases à base d’oxalate. Les symptômes: douleur, efforts pour uriner, sang dans les urines; chez le mâle, l’obstruction urinaire est une urgence vitale. Examens: analyse d’urine (25–45€), imagerie (radio 80–150€, écho 90–150€). Déblocage + hospitalisation: 250–600€. En cas de récidives, chirurgie (cystotomie 400–900€) ou uréthrostomie chez le mâle (600–1 200€). La prévention diététique (aliments spécifiques 30–60€/mois) et les suivis sont souvent remboursés en partie selon les contrats.
Affection typique: crises de douleur buccale avec mâchonnement de la langue, vocalises, hypersalivation. Le bilan peut nécessiter consultation spécialisée, imagerie dentaire et parfois scanner (CT 400–800€) pour exclure une cause structurelle. La gestion combine antalgiques, soins dentaires et suivi comportemental, avec des coûts qui peuvent dépasser 300–1 000€ la première année. Une assurance limitera l’impact de ces épisodes récidivants.
Comme beaucoup de chats, le Burmese peut développer gingivite et résorptions dentaires. Détartrage sous anesthésie: 80–200€; extractions multiples: 150–600€; antibiotiques/antalgiques: 20–60€. Dans les cas de stomatite chronique, plusieurs interventions et bilans sanguins (60–120€) sont à prévoir. Les formules d’assurance avec prévention ou plafond élevé sont pertinentes.
Pathologie fréquente après 10 ans. Dépistage: bilan rénal (créatinine, SDMA 70–130€), analyses d’urine (25–45€), échographie (90–150€). Coût annuel moyen de prise en charge entre 300 et 900€ selon la gravité (alimentation rénale 25–50€/mois, fluidothérapie à domicile, médicaments). Une assurance santé Burmese anglais avec bon plafond et remboursement des examens d’imagerie est un vrai plus.
Même si le Burmese n’est pas la race la plus touchée par la cardiomyopathie hypertrophique, un souffle ou un doute justifient une échographie cardiaque (120–180€) et parfois un traitement (15–40€/mois). Les accidents (fracture, corps étranger) entraînent vite des frais lourds: radiographies (80–150€), chirurgie de fracture (800–1 500€), laparotomie pour corps étranger (600–1 200€), hospitalisation (50–100€/jour). Assurer tôt permet d’éviter les exclusions liées aux antécédents et de bénéficier de meilleurs taux de remboursement.
Entre prédispositions de race (diabète, hypokaliémie, urolithiases) et maladies félines courantes, le coût d’une année compliquée peut facilement dépasser 1 000 à 2 500€. C’est précisément là que l’assurance santé Burmese anglais prend tout son sens: vous maitrisez votre budget, tout en offrant à votre compagnon des soins rapides et complets. Si vous hésitez encore sur pourquoi assurer Burmese anglais, retenez qu’une souscription précoce, avant tout problème, maximise vos garanties et minimise les exclusions.
Les frais vétérinaires ont augmenté de plus de 20 % ces 5 dernières années, ce qui alourdit très rapidement la facture en cas de pépin.
Source : Fidel’Ami Santé
Un simple accident peut vous coûter jusqu’à 1 500 € en urgence. Sans assurance, c’est votre épargne qui sert d’amortisseur.
Source : SantéVet
Le Burmese anglais est globalement une race robuste, mais comme tous les chats de race, il présente certaines prédispositions héréditaires ou métaboliques qu’il est utile de connaître. Les identifier tôt permet de mieux protéger votre compagnon et d’anticiper les éventuels frais vétérinaires.
Certaines de ces affections nécessitent des examens coûteux (échographies, analyses sanguines, suivi endocrinien), voire des traitements au long cours. C’est l’une des raisons pour lesquelles une assurance santé peut s’avérer particulièrement utile pour le Burmese anglais.
Pour un Burmese anglais, visez 80–90% de remboursement pour absorber les postes lourds: hospitalisation 600–1 500€, chirurgie urinaire 400–1 200€, scanner 400–800€. À 90%, une facture de 1 200€ ne laisse que 120€ à payer, hors franchise.
Choisissez un plafond annuel de 2 000–3 000€ minimum; 3 500€ idéal en cas de diabète ou récidives. Entre bilans (200–400€), imagerie (180–800€) et urgences (250–1 500€), un plafond trop bas se consume vite, surtout les années avec chirurgie ou hospitalisation.
Un budget prévention de 50–150€/an est pertinent: détartrage partiel, tests urinaires (25–45€), bilan rénal/SDMA (70–130€), test génétique hypokaliémie (45–70€), aliments médicaux (30–60€/mois) partiellement pris en charge. Priorisez les formules couvrant actes dentaires et vaccins.
Prévoir la prise en charge des consultations, bilans sanguins (fructosamine), courbes glycémiques, insuline et consommables, avec suivi au long cours. Idéalement remboursement des hospitalisations en cas d’acidocétose et des réévaluations trimestrielles.
Couvrez analyses d’urine, imagerie (radio/écho), sondage de déblocage, hospitalisation, chirurgie (cystotomie/uréthrostomie), ainsi que les récidives. Bonus: participation aux aliments urinaires thérapeutiques.
Inclure examens (ionogramme), test génétique, supplémentations en potassium et perfusions lors des crises. La prise en charge des contrôles réguliers est essentielle pour éviter les rechutes.
Optez pour une garantie dentaire élargie: détartrage sous AG, radiographie dentaire, extractions multiples et antalgiques. Couverture des consultations spécialisées en cas de syndrome orofacial et, si nécessaire, imagerie avancée.
Remboursement des bilans rénaux (créatinine, SDMA), analyses d’urine, échographie, fluidothérapie à domicile, médicaments et aliments rénaux. Indispensable après 10 ans.
Prise en charge de l’échocardiographie, de la radiologie, de l’échographie abdominale et du scanner (CT) pour affiner les diagnostics complexes et préparer les chirurgies.
Couverture des actes d’urgence, des gardes, de l’hospitalisation, de l’anesthésie et des chirurgies (digestives, urologiques, traumatologiques), avec un plafond suffisant pour les séjours prolongés.
Inclure médicaments au long cours (antidiabétiques, cardiologie), pansements, seringues/stylos d’insuline et contrôles biologiques de suivi sans délais d’attente excessifs.
Remboursement des consultations cardio, de l’échographie, de l’ECG et des traitements en cas de souffle ou cardiomyopathie suspectée.
Un forfait prévention finançant vaccins, antiparasitaires, bilans seniors, tests urinaires, détartrage et une partie des aliments thérapeutiques optimise la prise en charge des risques rénaux et urinaires.
Franchise faible et claire, délais de carence courts, pas d’exclusions de race (diabète, troubles urinaires, dentaire), prise en charge de l’imagerie et des récidives, et téléconseil vétérinaire inclus.
| Offre | Coût moyen |
|---|---|
| Prix moyen | 21,75 €/mois |
| Formule économique | 10,91 €/mois |
| Formule intermédiaire | 21,74 €/mois |
| Formule premium | 34,88 €/mois |
À titre indicatif: chaton 9–18 €/mois, adulte 15–30 €/mois, senior 25–45 €/mois selon le plafond, le taux de remboursement et la franchise.
1) Ciblez vos risques: le Burmese anglais est davantage exposé au diabète, aux calculs d’oxalate, à l’hypokaliémie périodique et aux problèmes dentaires; privilégiez une couverture imagerie, hospitalisation et actes techniques. 2) Plafond annuel: visez 2 000–3 500 €; 3 000 € et plus si vous souhaitez être serein face à une chirurgie urologique ou un scanner. 3) Taux de remboursement: 80–90 % pour amortir l’hospitalisation ou l’imagerie avancée. 4) Franchise: préférez une franchise faible et claire (0–50 € par an ou par sinistre). 5) Délai de carence court et pas d’exclusions sur les maladies typiques de la race. 6) Dentaire élargie et prévention: utile pour détartrage, bilans rénaux/urinaires et aliments médicaux. 7) Services: téléconseil véto 24/7, tiers payant et gestion rapide des sinistres.
Contenu typique: accident + quelques maladies, plafond bas à moyen (1 000–2 000 €), imagerie limitée, dentaire exclue ou restreinte, prévention absente. Intérêt pour le Burmese anglais: acceptable pour un jeune chat d’intérieur sans antécédents si le budget est serré, mais couverture souvent insuffisante en cas de diabète, d’obstruction urinaire ou de soins dentaires répétés.
Contenu typique: maladies et accidents, imagerie (radio/écho), hospitalisation, dentaire partielle, plafond autour de 2 000–3 000 €, remboursement 70–85 %, options prévention. Intérêt pour le Burmese anglais: excellent ratio prix/garanties; adapté aux bilans rénaux/urinaires, aux détartrages et aux urgences (déblocage urétral, cystotomie). C’est la formule la plus pertinente pour la majorité des foyers.
Contenu typique: remboursement 85–90 %, plafond 3 000–5 000 €+, imagerie avancée (scanner/CT), dentaire élargie, hospitalisation étendue, prévention généreuse. Intérêt pour le Burmese anglais: recommandée si votre chat est mâle (risque d’obstruction), si vous souhaitez sécuriser le coût d’un diabète au long cours ou si vous voulez limiter au maximum le reste à charge sur la chirurgie et l’imagerie.
Hospitalisation pour obstruction urinaire à 900 €: en formule à 90 %, vous payez ~90 € + franchise; à 70 %, ~270 € + franchise. Scanner dentaire et extractions à 750 €: 90 % = ~75 €; 80 % = ~150 €; si la dentaire est exclue en économique, 750 € restent à votre charge.
Âge (les seniors paient plus), stérilisation, code postal, niveau de plafond, taux de remboursement, montant de franchise, options prévention/dentaire, antécédents (d’où l’intérêt d’assurer tôt pour éviter exclusions et surprimes).
Pour un Burmese anglais, ciblez au minimum une formule intermédiaire autour de 21–28 €/mois, ou premium 32–40 €/mois si vous voulez une vraie tranquillité sur l’imagerie, la dentaire et les hospitalisations. Comparez plusieurs devis en 2 minutes avec le comparateur lebonflair pour trouver l’offre au meilleur rapport garanties/prix selon l’âge et le profil de votre chat.
Oui — dans de nombreux cas, l’assurance santé pour un Burmese anglais peut être un bon investissement. Toutefois, sa vraisemblable rentabilité dépendra de plusieurs facteurs : âge de l’animal, conditions de vie, formule choisie et niveau de garanties.
Oui — dans la majorité des cas, souscrire une assurance pour un Burmese anglais est une démarche raisonnable et potentiellement rentable, **à condition** de choisir une formule adaptée à sa situation, son âge et son mode de vie. En revanche, si vous optez pour une formule trop coûteuse ou trop légère, ou si votre chat est peu exposé aux risques, l’intérêt peut être plus limité.
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L’assurance Burmese anglais, aussi appelée mutuelle pour chat, est un contrat d’assurance santé chat qui rembourse vos frais vétérinaires (maladie, accident, chirurgie, imagerie, hospitalisation) et parfois la prévention. Elle s’adresse aux propriétaires de Burmese anglais souhaitant maîtriser leur budget tout en garantissant des soins rapides et complets.
Le Burmese est prédisposé à certaines affections: diabète sucré (risque multiplié par 3 à 4), hypokaliémie périodique, calculs urinaires avec risque d’obstruction chez le mâle, douleurs orofaciales et stomatites, insuffisance rénale chronique en vieillissant. Une assurance chat Burmese anglais lisse les dépenses, couvre les urgences et les soins récurrents, et évite les compromis sur la qualité des traitements.
Le prix moyen observé tourne autour de 21,75 € par mois: formule économique dès ~10,90 €, intermédiaire ~21,70 €, premium ~34,90 €. Comptez à titre indicatif: chaton 9–18 €/mois, adulte 15–30 €/mois, senior 25–45 €/mois selon le plafond annuel, le taux de remboursement, la franchise et les options (dentaire, prévention). Le sexe, l’âge, la stérilisation, le code postal et les antécédents influencent le tarif.
Privilégiez des garanties couvrant les risques de race: diabète (insuline, bilans, hospitalisations), urologie (analyses, imagerie, sondage, cystotomie/uréthrostomie), santé dentaire (détartrage, extractions, imagerie dentaire), imagerie avancée (radio/écho/scanner), hospitalisation et chirurgie. Un comparateur assurance chat comme lebonflair vous aide à obtenir un devis assurance chat Burmese aligné sur vos besoins et votre budget.
Visez 80 à 90 % de remboursement avec un plafond annuel de 2 000 à 3 500 € minimum. Exemple: obstruction urinaire à 900 € → reste à charge ~90 € à 90 % (hors franchise) contre ~270 € à 70 %. Un plafond trop bas se consume vite en cas d’imagerie (scanner), de chirurgie urologique ou d’hospitalisation prolongée.
Préferez une franchise faible et transparente (0–50 € annuelle ou par sinistre) et des délais de carence courts (accident souvent immédiat à 2 jours, maladie 15–45 jours). Vérifiez aussi s’il existe des carences spécifiques pour la dentaire ou l’urologie, et l’absence d’exclusions de race sur le diabète ou les troubles urinaires.
Indispensables: maladie + accident, analyses labo, imagerie (radio, échographie, scanner), hospitalisation, chirurgie, médicaments chroniques, santé dentaire élargie, urologie (déblocage, cystotomie, uréthrostomie), suivi du diabète (fructosamine, courbes glycémiques), prise en charge des récidives, téléconsultation vétérinaire 24/7 et, idéalement, forfait prévention.
La plupart des assureurs excluent les maladies préexistantes et leurs conséquences. Vous pouvez toutefois couvrir les nouvelles affections et les accidents futurs. D’où l’intérêt d’assurer tôt, avant tout diagnostic, pour éviter les exclusions et bénéficier de meilleures garanties.
Souscrivez dès 2–3 mois, après l’identification. Plus on tarde, plus le prix augmente et plus les exclusions liées aux antécédents sont probables. Certains contrats limitent l’adhésion initiale vers 8–10 ans: anticipez pour votre Burmese anglais senior.
Souvent partiels ou exclus en entrée de gamme. Choisissez une formule couvrant détartrage sous anesthésie, radiographie dentaire, extractions multiples et, si besoin, scanner dentaire. C’est crucial pour les stomatites, douleurs orofaciales et résorptions dentaires fréquentes chez le chat.
Un forfait prévention peut rembourser vaccins, antiparasitaires, bilans rénaux/SDMA, analyses d’urine, test génétique de l’hypokaliémie et une part des aliments thérapeutiques. Utile pour un Burmese exposé aux risques urinaires et rénaux.
Le tiers payant permet de limiter l’avance chez des cliniques partenaires. Hors réseau, vous êtes remboursé après envoi des justificatifs, en 48 h à 7 jours en moyenne selon l’assureur. La téléconsultation vétérinaire 24/7 incluse dans certains contrats aide à trier les urgences et à éviter des déplacements inutiles.
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Économique: pas chère mais dentaire limitée et plafond bas, adaptée à un jeune chat d’intérieur. Intermédiaire: meilleur équilibre prix/garanties (radio/écho, hospitalisation, dentaire partielle). Premium: 85–90 % de remboursement, plafond élevé, imagerie avancée (scanner), dentaire élargie, idéale pour sécuriser diabète et chirurgies urologiques.
La résiliation se fait généralement à l’échéance annuelle avec préavis (souvent 1 à 2 mois). Conservez la continuité de couverture avant de souscrire ailleurs, car le nouvel assureur n’indemnisera pas les maladies antérieures. Motifs légitimes (déménagement à l’étranger, décès) selon conditions.
Exclusions courantes: maladies et blessures antérieures à l’adhésion, actes de confort, reproduction, alimentation standard, vermifuges si pas en prévention, certaines affections héréditaires non listées, dentaire en formule basique. Vérifiez l’absence d’exclusions de race et la couverture de l’imagerie avancée.
Assurez tôt, choisissez une franchise raisonnable, payez annuellement si remise, évitez les options inutiles, stérilisez votre chat, comparez les devis, ajustez le plafond et le taux de remboursement selon votre tolérance au reste à charge.
Certains contrats couvrent les soins vétérinaires en voyage (souvent UE/EEE) avec plafonds dédiés et options assistance (recherche, rapatriement). Vérifiez la zone géographique, la durée maximale de séjour, le tiers payant international et les documents requis avant de partir.
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